Featured Events in Paris in October, 2024 (May Updated)

The Louvre’s Department of Near Eastern Antiquities is hosting ten major works from New York’s Metropolitan Museum of Art, whose Department of Ancient Near Eastern Art is currently closed for renovation. The Louvre and The Met have created a unique dialogue between these two collections, which is displayed in the Louvre’s permanent galleries. These ‘special guest’ artworks from The Met, dating from between the late 4th millennium BC and the 5th century AD, show some remarkable connections with the Louvre’s collection. In some cases, a pair of objects has been reunited for the first time, while in others, pieces complement each other by virtue of specific historical features of their respective collections. Representing Central Asia, Syria, Iran and Mesopotamia, this dialogue between collections is (re)introducing visitors to these extraordinary, age-old works of art and the stories they tell.

Guillaume Bottazzi a réalisé un tableau fruité en face du parc Montsouris. Il est visible de l’extérieur, au 34-36 avenue Reille, à Paris dans le 14ème arrondissement. Ce tableau apporte l’art ou on ne l’attend pas forcément et accompagne le quotidien des habitants.Cette huile sur toile de lin mesure 0,90m de haut par 1,80m de large. Elle a été conçue pour habiller l’entrée d’un bâtiment et dialogue avec les éléments qui l’entourent. L’artiste a déjà créé plus de 65 œuvres dans des espaces publics, comme un polyptique de 100m² à Paris La Défense, à Hong-Kong ou au Japon où il est l'auteur de la plus grande peinture du Pays, commandée par le Musée International d'Art Miyanomori. Ses œuvres font partie de collections muséales, notamment en Asie et aux Etats-Unis. Site internet de Guillaume Bottazzi : https://www.guillaume.bottazzi.org

Guillaume Bottazzi a réalisé un tableau fruité en face du parc Montsouris. Il est visible de l’extérieur, au 34-36 avenue Reille, à Paris dans le 14ème arrondissement. Ce tableau apporte l’art ou on ne l’attend pas forcément et accompagne le quotidien des habitants.Cette huile sur toile de lin mesure 0,90m de haut par 1,80m de large. Elle a été conçue pour habiller l’entrée d’un bâtiment et dialogue avec les éléments qui l’entourent. L’artiste a déjà créé plus de 65 œuvres dans des espaces publics, comme un polyptique de 100m² à Paris La Défense, à Hong-Kong ou au Japon où il est l'auteur de la plus grande peinture du Pays, commandée par le Musée International d'Art Miyanomori. Ses œuvres font partie de collections muséales, notamment en Asie et aux Etats-Unis. Site internet de Guillaume Bottazzi : https://www.guillaume.bottazzi.org

En 2024, pour la 8e édition des prix AWARE, deux prix seront attribués : le prix Nouveau Regard, récompensant une artiste en milieu decarrière et le prix d’honneur, attribué à une artiste justifiant de plus de 40 ans decarrière. À nouveau cette année, quatre rapporteur·euse·s – professionnel·le·sengagé·e·s du monde de la culture – présélectionneront chacun·e un duo d’artistes, nommées respectivement au prix Nouveau Regard et au prix d’honneur, et présenteront et défendront leur travail devant un jury composé de sept figures majeures du monde de la culture. Les quatre rapporteur·euse·spour l’édition 2024 sont Simona Dvorák, Antoine Idier, Noelia Portela et Olivier Zeitoun. Simona Dvorák Simona Dvorák est curatrice et historienne de l’art basée à Paris. Elle s’intéresseà des pratiques performatives, sonores, radiophoniques et vidéo, en mettanten valeur un travail collectif à long terme. En tant que curatrice au sein de l’Initiative for Practices and Visions of Radical Care, elle étudie la manière dont nous pouvons créer des espaces communs et solidaires dans la sphère culturelle. Son travail souligne l’importance des « processus d’exposition » qui anticipent les futurs possibles : antisexistes, antiracistes, inclusifs. Plus récemment, elle a été boursière du programme Art et éducation à la documenta fifteen à Kasselet a collaboré sur la conception du programme public Walking with Water, imaginé en relation avec le pavillon serbe de la 59e Biennale de Venise. Elle a été également chargée de programmation au Centre Pompidou à Paris ouelle a notamment travaillé sur le programme Cultures d’avenir. Actuellement, Dvorák est curatrice invitée, avec Tadeo Kohan, pour le programme « actes delangage » à la Maison populaire de Montreuil. Parallèlement, elle développe un projet de recherche sur la politique des archives au Rockbund Art Museum, Shanghai, en collaboration avec Merv Espina. Antoine Idier Antoine Idier est maître de conférences en science politique à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye, où il coordonne les enseignements « Art & culture » et dirige le Master Politiques de création. Il a publié de nombreux ouvrages, dont Les Vies de GuyHocquenghem. Politique, sexualité, culture(Fayard, 2017), Archives des mouvements LGBT+ (Textuel, 2018), Pureté etimpureté de l’art. Michel Journiac et le Sida (Sombres torrents, 2020) ou encore Résistances Queer. Une histoire des cultures LGBTQI+(avec Pochep, Delcourt/La Découverte, 2023). Il a édité des écrits de Guy Hocquenghem (Un journal de rêve, Verticales, 2017) et de yann beauvais (Agir le cinéma, Presses du réel, 2021). En 2022-2023, il a été commissaire de l’exposition Dans les marges. Trente ans du fonds Michel Chomarat à la bibliothèque de Lyon. Pour un projet en cours d’écriture, il a également reçu une bourse de recherche de la fondation Robert Rauschenberg. Noelia Portela Noelia Portela est commissaire d’exposition indépendante et coordinatrice de projets culturels basée à Paris. Noelia Portela est diplômée de l’école d’Architecture et de Design de l’université Victoria de Wellington en Nouvelle-Zélande. En 2017, elle fonde Persona Curada, un projet curatorial itinérant et expérimental à but non lucratif qui vise à promouvoir l’art contemporain latino-américain, mis en perspective avec la scène artistique française. Avec Persona Curada, elle organise des expositions, des projections, des performances et des débats en collaboration avec des institutions et des espaces d’art contemporain. Ses textes ont été publiés dans des revues comme Artishock Magazine (Chile), Relieve Contemporaneo (Argentina) et Obra Latinoamericana (Suisse). Olivier Zeitoun Olivier Zeitoun est attaché de conservation au département Design et Prospective industrielle du Musée National d’Art Moderne, Centre Pompidou, à Paris. Diplômé en philosophie, histoire de l’art et en sciences sociales, il est l’auteur de nombreux articles et essais sur les enjeux liés aux champs du numérique et du vivant, dans l’art et le design. Il a été co-commissaire des expositions « La Fabrique du Vivant » (Centre Pompidou, 2019), « Réseaux-Mondes » (Centre Pompidou, 2022), « Mimésis, un design vivant » (Centre Pompidou-Metz, 2022), avec Marie-Ange Brayer, et a co-dirigé les catalogues les accompagnant. Il poursuit ses activités de commissariat, d’enseignement, de recherche et de publications en tant que commissaire et critique indépendant. Il ouvrira prochainement au Huidenclub, à Rotterdam, avec Léo Orta, l’exposition « Design Sediments ».

En 2024, pour la 8e édition des prix AWARE, deux prix seront attribués : le prix Nouveau Regard, récompensant une artiste en milieu decarrière et le prix d’honneur, attribué à une artiste justifiant de plus de 40 ans decarrière. À nouveau cette année, quatre rapporteur·euse·s – professionnel·le·sengagé·e·s du monde de la culture – présélectionneront chacun·e un duo d’artistes, nommées respectivement au prix Nouveau Regard et au prix d’honneur, et présenteront et défendront leur travail devant un jury composé de sept figures majeures du monde de la culture. Les quatre rapporteur·euse·spour l’édition 2024 sont Simona Dvorák, Antoine Idier, Noelia Portela et Olivier Zeitoun. Simona Dvorák Simona Dvorák est curatrice et historienne de l’art basée à Paris. Elle s’intéresseà des pratiques performatives, sonores, radiophoniques et vidéo, en mettanten valeur un travail collectif à long terme. En tant que curatrice au sein de l’Initiative for Practices and Visions of Radical Care, elle étudie la manière dont nous pouvons créer des espaces communs et solidaires dans la sphère culturelle. Son travail souligne l’importance des « processus d’exposition » qui anticipent les futurs possibles : antisexistes, antiracistes, inclusifs. Plus récemment, elle a été boursière du programme Art et éducation à la documenta fifteen à Kasselet a collaboré sur la conception du programme public Walking with Water, imaginé en relation avec le pavillon serbe de la 59e Biennale de Venise. Elle a été également chargée de programmation au Centre Pompidou à Paris ouelle a notamment travaillé sur le programme Cultures d’avenir. Actuellement, Dvorák est curatrice invitée, avec Tadeo Kohan, pour le programme « actes delangage » à la Maison populaire de Montreuil. Parallèlement, elle développe un projet de recherche sur la politique des archives au Rockbund Art Museum, Shanghai, en collaboration avec Merv Espina. Antoine Idier Antoine Idier est maître de conférences en science politique à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye, où il coordonne les enseignements « Art & culture » et dirige le Master Politiques de création. Il a publié de nombreux ouvrages, dont Les Vies de GuyHocquenghem. Politique, sexualité, culture(Fayard, 2017), Archives des mouvements LGBT+ (Textuel, 2018), Pureté etimpureté de l’art. Michel Journiac et le Sida (Sombres torrents, 2020) ou encore Résistances Queer. Une histoire des cultures LGBTQI+(avec Pochep, Delcourt/La Découverte, 2023). Il a édité des écrits de Guy Hocquenghem (Un journal de rêve, Verticales, 2017) et de yann beauvais (Agir le cinéma, Presses du réel, 2021). En 2022-2023, il a été commissaire de l’exposition Dans les marges. Trente ans du fonds Michel Chomarat à la bibliothèque de Lyon. Pour un projet en cours d’écriture, il a également reçu une bourse de recherche de la fondation Robert Rauschenberg. Noelia Portela Noelia Portela est commissaire d’exposition indépendante et coordinatrice de projets culturels basée à Paris. Noelia Portela est diplômée de l’école d’Architecture et de Design de l’université Victoria de Wellington en Nouvelle-Zélande. En 2017, elle fonde Persona Curada, un projet curatorial itinérant et expérimental à but non lucratif qui vise à promouvoir l’art contemporain latino-américain, mis en perspective avec la scène artistique française. Avec Persona Curada, elle organise des expositions, des projections, des performances et des débats en collaboration avec des institutions et des espaces d’art contemporain. Ses textes ont été publiés dans des revues comme Artishock Magazine (Chile), Relieve Contemporaneo (Argentina) et Obra Latinoamericana (Suisse). Olivier Zeitoun Olivier Zeitoun est attaché de conservation au département Design et Prospective industrielle du Musée National d’Art Moderne, Centre Pompidou, à Paris. Diplômé en philosophie, histoire de l’art et en sciences sociales, il est l’auteur de nombreux articles et essais sur les enjeux liés aux champs du numérique et du vivant, dans l’art et le design. Il a été co-commissaire des expositions « La Fabrique du Vivant » (Centre Pompidou, 2019), « Réseaux-Mondes » (Centre Pompidou, 2022), « Mimésis, un design vivant » (Centre Pompidou-Metz, 2022), avec Marie-Ange Brayer, et a co-dirigé les catalogues les accompagnant. Il poursuit ses activités de commissariat, d’enseignement, de recherche et de publications en tant que commissaire et critique indépendant. Il ouvrira prochainement au Huidenclub, à Rotterdam, avec Léo Orta, l’exposition « Design Sediments ».

The Louvre’s Department of Near Eastern Antiquities is hosting ten major works from New York’s Metropolitan Museum of Art, whose Department of Ancient Near Eastern Art is currently closed for renovation. The Louvre and The Met have created a unique dialogue between these two collections, which is displayed in the Louvre’s permanent galleries. These ‘special guest’ artworks from The Met, dating from between the late 4th millennium BC and the 5th century AD, show some remarkable connections with the Louvre’s collection. In some cases, a pair of objects has been reunited for the first time, while in others, pieces complement each other by virtue of specific historical features of their respective collections. Representing Central Asia, Syria, Iran and Mesopotamia, this dialogue between collections is (re)introducing visitors to these extraordinary, age-old works of art and the stories they tell.

The Musée national Picasso-Paris collection is the fruit of an extraordinary history, made possible by the dation procedure - today it is the largest public collection of works by Picasso, the "Picassos of Picasso". Coming from the artist's studios, this collection gives us a better grasp of the aesthetic explorations of a Picasso who was by turns disconcerting, plural, contradictory, reflexive, gestural and conceptual, an aesthete and a committed activist, a tinkerer and a poet. Is he symbolist, cubist, classical, surrealist or simply figurative and political?

The Musée national Picasso-Paris collection is the fruit of an extraordinary history, made possible by the dation procedure - today it is the largest public collection of works by Picasso, the "Picassos of Picasso". Coming from the artist's studios, this collection gives us a better grasp of the aesthetic explorations of a Picasso who was by turns disconcerting, plural, contradictory, reflexive, gestural and conceptual, an aesthete and a committed activist, a tinkerer and a poet. Is he symbolist, cubist, classical, surrealist or simply figurative and political?

The Musée national Picasso-Paris collection is the fruit of an extraordinary history, made possible by the dation procedure - today it is the largest public collection of works by Picasso, the "Picassos of Picasso". Coming from the artist's studios, this collection gives us a better grasp of the aesthetic explorations of a Picasso who was by turns disconcerting, plural, contradictory, reflexive, gestural and conceptual, an aesthete and a committed activist, a tinkerer and a poet. Is he symbolist, cubist, classical, surrealist or simply figurative and political?

At the invitation of the Musée national Picasso-Paris, Argentine artist Guillermo Kuitca (b. 1961) has created a site-specific work in the chapel of the Hôtel Salé. Since his intervention at the Venice Biennale in 2007, Kuitca has developed a new language, echoing the architecture, which the artist calls ‘cubistoid painting’, in which a set of intersecting lines, like so many folds in the plane, is deployed directly on the walls, forming a new pictorial space.

At the invitation of the Musée national Picasso-Paris, Argentine artist Guillermo Kuitca (b. 1961) has created a site-specific work in the chapel of the Hôtel Salé. Since his intervention at the Venice Biennale in 2007, Kuitca has developed a new language, echoing the architecture, which the artist calls ‘cubistoid painting’, in which a set of intersecting lines, like so many folds in the plane, is deployed directly on the walls, forming a new pictorial space.

At the invitation of the Musée national Picasso-Paris, Argentine artist Guillermo Kuitca (b. 1961) has created a site-specific work in the chapel of the Hôtel Salé. Since his intervention at the Venice Biennale in 2007, Kuitca has developed a new language, echoing the architecture, which the artist calls ‘cubistoid painting’, in which a set of intersecting lines, like so many folds in the plane, is deployed directly on the walls, forming a new pictorial space.

Guillaume Bottazzi a réalisé un tableau fruité en face du parc Montsouris. Il est visible de l’extérieur, au 34-36 avenue Reille, à Paris dans le 14ème arrondissement. Ce tableau apporte l’art ou on ne l’attend pas forcément et accompagne le quotidien des habitants. Cette huile sur toile de lin mesure 0,90m de haut par 1,80m de large. Elle a été conçue pour habiller l’entrée d’un bâtiment et dialogue avec les éléments qui l’entourent. L’artiste a déjà créé plus de 65 œuvres dans des espaces publics, comme un polyptique de 100m² à Paris La Défense, à Hong-Kong ou au Japon où il est l'auteur de la plus grande peinture du Pays, commandée par le Musée International d'Art Miyanomori. Ses œuvres font partie de collections muséales, notamment en Asie et aux Etats-Unis.

Guillaume Bottazzi a réalisé un tableau fruité en face du parc Montsouris. Il est visible de l’extérieur, au 34-36 avenue Reille, à Paris dans le 14ème arrondissement. Ce tableau apporte l’art ou on ne l’attend pas forcément et accompagne le quotidien des habitants. Cette huile sur toile de lin mesure 0,90m de haut par 1,80m de large. Elle a été conçue pour habiller l’entrée d’un bâtiment et dialogue avec les éléments qui l’entourent. L’artiste a déjà créé plus de 65 œuvres dans des espaces publics, comme un polyptique de 100m² à Paris La Défense, à Hong-Kong ou au Japon où il est l'auteur de la plus grande peinture du Pays, commandée par le Musée International d'Art Miyanomori. Ses œuvres font partie de collections muséales, notamment en Asie et aux Etats-Unis.

Guillaume Bottazzi a réalisé un tableau fruité en face du parc Montsouris. Il est visible de l’extérieur, au 34-36 avenue Reille, à Paris dans le 14ème arrondissement. Ce tableau apporte l’art ou on ne l’attend pas forcément et accompagne le quotidien des habitants.Cette huile sur toile de lin mesure 0,90m de haut par 1,80m de large. Elle a été conçue pour habiller l’entrée d’un bâtiment et dialogue avec les éléments qui l’entourent. L’artiste a déjà créé plus de 65 œuvres dans des espaces publics, comme un polyptique de 100m² à Paris La Défense, à Hong-Kong ou au Japon où il est l'auteur de la plus grande peinture du Pays, commandée par le Musée International d'Art Miyanomori. Ses œuvres font partie de collections muséales, notamment en Asie et aux Etats-Unis. Site internet de Guillaume Bottazzi : https://www.guillaume.bottazzi.org

Guillaume Bottazzi a réalisé un tableau fruité en face du parc Montsouris. Il est visible de l’extérieur, au 34-36 avenue Reille, à Paris dans le 14ème arrondissement. Ce tableau apporte l’art ou on ne l’attend pas forcément et accompagne le quotidien des habitants. Cette huile sur toile de lin mesure 0,90m de haut par 1,80m de large. Elle a été conçue pour habiller l’entrée d’un bâtiment et dialogue avec les éléments qui l’entourent. L’artiste a déjà créé plus de 65 œuvres dans des espaces publics, comme un polyptique de 100m² à Paris La Défense, à Hong-Kong ou au Japon où il est l'auteur de la plus grande peinture du Pays, commandée par le Musée International d'Art Miyanomori. Ses œuvres font partie de collections muséales, notamment en Asie et aux Etats-Unis.

En 2024, pour la 8e édition des prix AWARE, deux prix seront attribués : le prix Nouveau Regard, récompensant une artiste en milieu decarrière et le prix d’honneur, attribué à une artiste justifiant de plus de 40 ans decarrière. À nouveau cette année, quatre rapporteur·euse·s – professionnel·le·sengagé·e·s du monde de la culture – présélectionneront chacun·e un duo d’artistes, nommées respectivement au prix Nouveau Regard et au prix d’honneur, et présenteront et défendront leur travail devant un jury composé de sept figures majeures du monde de la culture. Les quatre rapporteur·euse·spour l’édition 2024 sont Simona Dvorák, Antoine Idier, Noelia Portela et Olivier Zeitoun. Simona Dvorák Simona Dvorák est curatrice et historienne de l’art basée à Paris. Elle s’intéresseà des pratiques performatives, sonores, radiophoniques et vidéo, en mettanten valeur un travail collectif à long terme. En tant que curatrice au sein de l’Initiative for Practices and Visions of Radical Care, elle étudie la manière dont nous pouvons créer des espaces communs et solidaires dans la sphère culturelle. Son travail souligne l’importance des « processus d’exposition » qui anticipent les futurs possibles : antisexistes, antiracistes, inclusifs. Plus récemment, elle a été boursière du programme Art et éducation à la documenta fifteen à Kasselet a collaboré sur la conception du programme public Walking with Water, imaginé en relation avec le pavillon serbe de la 59e Biennale de Venise. Elle a été également chargée de programmation au Centre Pompidou à Paris ouelle a notamment travaillé sur le programme Cultures d’avenir. Actuellement, Dvorák est curatrice invitée, avec Tadeo Kohan, pour le programme « actes delangage » à la Maison populaire de Montreuil. Parallèlement, elle développe un projet de recherche sur la politique des archives au Rockbund Art Museum, Shanghai, en collaboration avec Merv Espina. Antoine Idier Antoine Idier est maître de conférences en science politique à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye, où il coordonne les enseignements « Art & culture » et dirige le Master Politiques de création. Il a publié de nombreux ouvrages, dont Les Vies de GuyHocquenghem. Politique, sexualité, culture(Fayard, 2017), Archives des mouvements LGBT+ (Textuel, 2018), Pureté etimpureté de l’art. Michel Journiac et le Sida (Sombres torrents, 2020) ou encore Résistances Queer. Une histoire des cultures LGBTQI+(avec Pochep, Delcourt/La Découverte, 2023). Il a édité des écrits de Guy Hocquenghem (Un journal de rêve, Verticales, 2017) et de yann beauvais (Agir le cinéma, Presses du réel, 2021). En 2022-2023, il a été commissaire de l’exposition Dans les marges. Trente ans du fonds Michel Chomarat à la bibliothèque de Lyon. Pour un projet en cours d’écriture, il a également reçu une bourse de recherche de la fondation Robert Rauschenberg. Noelia Portela Noelia Portela est commissaire d’exposition indépendante et coordinatrice de projets culturels basée à Paris. Noelia Portela est diplômée de l’école d’Architecture et de Design de l’université Victoria de Wellington en Nouvelle-Zélande. En 2017, elle fonde Persona Curada, un projet curatorial itinérant et expérimental à but non lucratif qui vise à promouvoir l’art contemporain latino-américain, mis en perspective avec la scène artistique française. Avec Persona Curada, elle organise des expositions, des projections, des performances et des débats en collaboration avec des institutions et des espaces d’art contemporain. Ses textes ont été publiés dans des revues comme Artishock Magazine (Chile), Relieve Contemporaneo (Argentina) et Obra Latinoamericana (Suisse). Olivier Zeitoun Olivier Zeitoun est attaché de conservation au département Design et Prospective industrielle du Musée National d’Art Moderne, Centre Pompidou, à Paris. Diplômé en philosophie, histoire de l’art et en sciences sociales, il est l’auteur de nombreux articles et essais sur les enjeux liés aux champs du numérique et du vivant, dans l’art et le design. Il a été co-commissaire des expositions « La Fabrique du Vivant » (Centre Pompidou, 2019), « Réseaux-Mondes » (Centre Pompidou, 2022), « Mimésis, un design vivant » (Centre Pompidou-Metz, 2022), avec Marie-Ange Brayer, et a co-dirigé les catalogues les accompagnant. Il poursuit ses activités de commissariat, d’enseignement, de recherche et de publications en tant que commissaire et critique indépendant. Il ouvrira prochainement au Huidenclub, à Rotterdam, avec Léo Orta, l’exposition « Design Sediments ».

En 2024, pour la 8e édition des prix AWARE, deux prix seront attribués : le prix Nouveau Regard, récompensant une artiste en milieu decarrière et le prix d’honneur, attribué à une artiste justifiant de plus de 40 ans decarrière. À nouveau cette année, quatre rapporteur·euse·s – professionnel·le·sengagé·e·s du monde de la culture – présélectionneront chacun·e un duo d’artistes, nommées respectivement au prix Nouveau Regard et au prix d’honneur, et présenteront et défendront leur travail devant un jury composé de sept figures majeures du monde de la culture. Les quatre rapporteur·euse·spour l’édition 2024 sont Simona Dvorák, Antoine Idier, Noelia Portela et Olivier Zeitoun. Simona Dvorák Simona Dvorák est curatrice et historienne de l’art basée à Paris. Elle s’intéresseà des pratiques performatives, sonores, radiophoniques et vidéo, en mettanten valeur un travail collectif à long terme. En tant que curatrice au sein de l’Initiative for Practices and Visions of Radical Care, elle étudie la manière dont nous pouvons créer des espaces communs et solidaires dans la sphère culturelle. Son travail souligne l’importance des « processus d’exposition » qui anticipent les futurs possibles : antisexistes, antiracistes, inclusifs. Plus récemment, elle a été boursière du programme Art et éducation à la documenta fifteen à Kasselet a collaboré sur la conception du programme public Walking with Water, imaginé en relation avec le pavillon serbe de la 59e Biennale de Venise. Elle a été également chargée de programmation au Centre Pompidou à Paris ouelle a notamment travaillé sur le programme Cultures d’avenir. Actuellement, Dvorák est curatrice invitée, avec Tadeo Kohan, pour le programme « actes delangage » à la Maison populaire de Montreuil. Parallèlement, elle développe un projet de recherche sur la politique des archives au Rockbund Art Museum, Shanghai, en collaboration avec Merv Espina. Antoine Idier Antoine Idier est maître de conférences en science politique à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye, où il coordonne les enseignements « Art & culture » et dirige le Master Politiques de création. Il a publié de nombreux ouvrages, dont Les Vies de GuyHocquenghem. Politique, sexualité, culture(Fayard, 2017), Archives des mouvements LGBT+ (Textuel, 2018), Pureté etimpureté de l’art. Michel Journiac et le Sida (Sombres torrents, 2020) ou encore Résistances Queer. Une histoire des cultures LGBTQI+(avec Pochep, Delcourt/La Découverte, 2023). Il a édité des écrits de Guy Hocquenghem (Un journal de rêve, Verticales, 2017) et de yann beauvais (Agir le cinéma, Presses du réel, 2021). En 2022-2023, il a été commissaire de l’exposition Dans les marges. Trente ans du fonds Michel Chomarat à la bibliothèque de Lyon. Pour un projet en cours d’écriture, il a également reçu une bourse de recherche de la fondation Robert Rauschenberg. Noelia Portela Noelia Portela est commissaire d’exposition indépendante et coordinatrice de projets culturels basée à Paris. Noelia Portela est diplômée de l’école d’Architecture et de Design de l’université Victoria de Wellington en Nouvelle-Zélande. En 2017, elle fonde Persona Curada, un projet curatorial itinérant et expérimental à but non lucratif qui vise à promouvoir l’art contemporain latino-américain, mis en perspective avec la scène artistique française. Avec Persona Curada, elle organise des expositions, des projections, des performances et des débats en collaboration avec des institutions et des espaces d’art contemporain. Ses textes ont été publiés dans des revues comme Artishock Magazine (Chile), Relieve Contemporaneo (Argentina) et Obra Latinoamericana (Suisse). Olivier Zeitoun Olivier Zeitoun est attaché de conservation au département Design et Prospective industrielle du Musée National d’Art Moderne, Centre Pompidou, à Paris. Diplômé en philosophie, histoire de l’art et en sciences sociales, il est l’auteur de nombreux articles et essais sur les enjeux liés aux champs du numérique et du vivant, dans l’art et le design. Il a été co-commissaire des expositions « La Fabrique du Vivant » (Centre Pompidou, 2019), « Réseaux-Mondes » (Centre Pompidou, 2022), « Mimésis, un design vivant » (Centre Pompidou-Metz, 2022), avec Marie-Ange Brayer, et a co-dirigé les catalogues les accompagnant. Il poursuit ses activités de commissariat, d’enseignement, de recherche et de publications en tant que commissaire et critique indépendant. Il ouvrira prochainement au Huidenclub, à Rotterdam, avec Léo Orta, l’exposition « Design Sediments ».

En 2024, pour la 8e édition des prix AWARE, deux prix seront attribués : le prix Nouveau Regard, récompensant une artiste en milieu decarrière et le prix d’honneur, attribué à une artiste justifiant de plus de 40 ans decarrière. À nouveau cette année, quatre rapporteur·euse·s – professionnel·le·sengagé·e·s du monde de la culture – présélectionneront chacun·e un duo d’artistes, nommées respectivement au prix Nouveau Regard et au prix d’honneur, et présenteront et défendront leur travail devant un jury composé de sept figures majeures du monde de la culture. Les quatre rapporteur·euse·spour l’édition 2024 sont Simona Dvorák, Antoine Idier, Noelia Portela et Olivier Zeitoun. Simona Dvorák Simona Dvorák est curatrice et historienne de l’art basée à Paris. Elle s’intéresseà des pratiques performatives, sonores, radiophoniques et vidéo, en mettanten valeur un travail collectif à long terme. En tant que curatrice au sein de l’Initiative for Practices and Visions of Radical Care, elle étudie la manière dont nous pouvons créer des espaces communs et solidaires dans la sphère culturelle. Son travail souligne l’importance des « processus d’exposition » qui anticipent les futurs possibles : antisexistes, antiracistes, inclusifs. Plus récemment, elle a été boursière du programme Art et éducation à la documenta fifteen à Kasselet a collaboré sur la conception du programme public Walking with Water, imaginé en relation avec le pavillon serbe de la 59e Biennale de Venise. Elle a été également chargée de programmation au Centre Pompidou à Paris ouelle a notamment travaillé sur le programme Cultures d’avenir. Actuellement, Dvorák est curatrice invitée, avec Tadeo Kohan, pour le programme « actes delangage » à la Maison populaire de Montreuil. Parallèlement, elle développe un projet de recherche sur la politique des archives au Rockbund Art Museum, Shanghai, en collaboration avec Merv Espina. Antoine Idier Antoine Idier est maître de conférences en science politique à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye, où il coordonne les enseignements « Art & culture » et dirige le Master Politiques de création. Il a publié de nombreux ouvrages, dont Les Vies de GuyHocquenghem. Politique, sexualité, culture(Fayard, 2017), Archives des mouvements LGBT+ (Textuel, 2018), Pureté etimpureté de l’art. Michel Journiac et le Sida (Sombres torrents, 2020) ou encore Résistances Queer. Une histoire des cultures LGBTQI+(avec Pochep, Delcourt/La Découverte, 2023). Il a édité des écrits de Guy Hocquenghem (Un journal de rêve, Verticales, 2017) et de yann beauvais (Agir le cinéma, Presses du réel, 2021). En 2022-2023, il a été commissaire de l’exposition Dans les marges. Trente ans du fonds Michel Chomarat à la bibliothèque de Lyon. Pour un projet en cours d’écriture, il a également reçu une bourse de recherche de la fondation Robert Rauschenberg. Noelia Portela Noelia Portela est commissaire d’exposition indépendante et coordinatrice de projets culturels basée à Paris. Noelia Portela est diplômée de l’école d’Architecture et de Design de l’université Victoria de Wellington en Nouvelle-Zélande. En 2017, elle fonde Persona Curada, un projet curatorial itinérant et expérimental à but non lucratif qui vise à promouvoir l’art contemporain latino-américain, mis en perspective avec la scène artistique française. Avec Persona Curada, elle organise des expositions, des projections, des performances et des débats en collaboration avec des institutions et des espaces d’art contemporain. Ses textes ont été publiés dans des revues comme Artishock Magazine (Chile), Relieve Contemporaneo (Argentina) et Obra Latinoamericana (Suisse). Olivier Zeitoun Olivier Zeitoun est attaché de conservation au département Design et Prospective industrielle du Musée National d’Art Moderne, Centre Pompidou, à Paris. Diplômé en philosophie, histoire de l’art et en sciences sociales, il est l’auteur de nombreux articles et essais sur les enjeux liés aux champs du numérique et du vivant, dans l’art et le design. Il a été co-commissaire des expositions « La Fabrique du Vivant » (Centre Pompidou, 2019), « Réseaux-Mondes » (Centre Pompidou, 2022), « Mimésis, un design vivant » (Centre Pompidou-Metz, 2022), avec Marie-Ange Brayer, et a co-dirigé les catalogues les accompagnant. Il poursuit ses activités de commissariat, d’enseignement, de recherche et de publications en tant que commissaire et critique indépendant. Il ouvrira prochainement au Huidenclub, à Rotterdam, avec Léo Orta, l’exposition « Design Sediments ».

The Louvre’s Department of Near Eastern Antiquities is hosting ten major works from New York’s Metropolitan Museum of Art, whose Department of Ancient Near Eastern Art is currently closed for renovation. The Louvre and The Met have created a unique dialogue between these two collections, which is displayed in the Louvre’s permanent galleries. These ‘special guest’ artworks from The Met, dating from between the late 4th millennium BC and the 5th century AD, show some remarkable connections with the Louvre’s collection. In some cases, a pair of objects has been reunited for the first time, while in others, pieces complement each other by virtue of specific historical features of their respective collections. Representing Central Asia, Syria, Iran and Mesopotamia, this dialogue between collections is (re)introducing visitors to these extraordinary, age-old works of art and the stories they tell.

The Musée national Picasso-Paris collection is the fruit of an extraordinary history, made possible by the dation procedure - today it is the largest public collection of works by Picasso, the "Picassos of Picasso". Coming from the artist's studios, this collection gives us a better grasp of the aesthetic explorations of a Picasso who was by turns disconcerting, plural, contradictory, reflexive, gestural and conceptual, an aesthete and a committed activist, a tinkerer and a poet. Is he symbolist, cubist, classical, surrealist or simply figurative and political?

At the invitation of the Musée national Picasso-Paris, Argentine artist Guillermo Kuitca (b. 1961) has created a site-specific work in the chapel of the Hôtel Salé. Since his intervention at the Venice Biennale in 2007, Kuitca has developed a new language, echoing the architecture, which the artist calls ‘cubistoid painting’, in which a set of intersecting lines, like so many folds in the plane, is deployed directly on the walls, forming a new pictorial space.

Crazy Horse (formerly known as Crazy Horse Saloon) is a cabaret located at 12 avenue George V, in the Champs-Élysées district of Paris. It was founded by Alain Bernardin in 1951. The name "Crazy Horse" comes from the English name of the Sioux chief Thašunka Witko and subsequently became famous. It is one of the three great spectacles of Paris, alongside the Lido and the Moulin Rouge. The Crazy Horse show is known for its exquisite, elegant, and alluring performances, which are artistic displays incorporating the concepts of "sound, light, color, and nudity." The entire show is typically comprised of beautiful dancers with well-proportioned and consistent bodies, who use gorgeous and fantastic lights and smoke as their clothing, presenting a three-dimensional song and dance show that combines sound, light, and sensory effects under colorful lighting and music.

Explore Paris Masters ATP 1000 Day 1 sporting information for 28th October, as well as links for Tennis tickets and more with Fixture Calendar. The Paris Masters, also known as the Rolex Paris Masters, is an annual professional tennis tournament held in Paris, France. It is a part of the ATP World Tour Masters 1000 and is one of the most prestigious events in men's tennis. The tournament features a singles and doubles competition, with the top players from around the world competing for the title. The event is held at the iconic AccorHotels Arena, which has a capacity of over 15,000 spectators. Some of the top players who have competed in the Paris Masters include Roger Federer, Novak Djokovic, and Rafael Nadal, making it a highly anticipated and exciting event for tennis fans. Information Source: fixturecalendar.com

On the centenary of Sturtevant’s birth, this exhibition celebrates the work of the pioneering American artist, spanning over five decades. The exhibition centres around Sturtevant’s 1995 repetition of Félix González-Torres’s Untitled (Go-Go Dancing Platform) (1991), and retraces the evolution of her practice, from an early painting shown at her first exhibition in Europe in 1966, at Galerie J, Paris, to a significant video installation that manifests her later interest in the frenzy of fast-moving imagery that characterises our postmodern times. The works on view are brought together in commemoration of an artist whose groundbreaking practice continues to confront us with an audacious and provocative rethinking of art.

Mitterrand gallery presents its very first exhibition at 95 rue du Faubourg Saint-Honoré, History is round like the Earth by Chilean artist Roberto Matta. The exhibition brings together some thirty works - paintings, sculptures and drawings - covering each decade from the 1930s to the 1990s. An original text by American art historian Terri Geis will also be published for the occasion.

Fools are everywhere. But are the fools of today the same as the fools of yesteryear? This fall, the Musée du Louvre is dedicating an unprecedented exhibition to the myriad figures of the fool, which permeated the pictorial landscape of the 13th to the 16thcenturies. Over the course of the Middle Ages and the Renaissance, the fool came to occupy every available artistic space, insinuating himself into illuminated manuscripts, printed books and engravings, tapestries, paintings, sculptures, and all manner of objects both precious and mundane. His fascinating, perplexing and subversive figure loomed large in the turmoil of an era not so different from our own. The exhibition examines the omnipresence of fools in Western art and culture at the end of the Middle Ages, and attempts to parse the meaning of these figures, who would seem to play a key role in the advent of modernity. The fool may make us laugh, with his abundance of frivolous antics, but he also harbours a wealth of hidden facets of an erotic, scatological, tragic or violent nature. Capable of the best and of the worst, the fool entertains, warns or denounces; he turns societal values on their head and may even overthrow the established order. Within the newly renovated Hall Napoléon, this exhibition, which brings together over 300works from 90French, European and American institutions, brings us on a one-of-a-kind journey through Northern European art (English, Flemish, Germanic, and above all French), illuminating the profane aspects of the Middle Ages and revealing a fascinating era of surprising complexity. The exhibition explores the disappearance of the figure of the fool with the Enlightenment and the triumph of reason, and its resurgence at the end of the 18thcentury and all throughout the 19th. The fool then became a figure with which artists identified, wondering: ‘What if I were the fool?’

This exhibition will bring together more than 70 works of trompe l'oeil from public institutions and private collections, spanning the 16th to the 21st century, and reviewing the development of the European trompe l'oeil art tradition. The exhibition will discuss some lesser-known aspects of trompe l'oeil art, such as its decorative use, its political influence in revolutionary history, and the interpretation of trompe l'oeil by modern and contemporary artists.